Le chef Trump, est vraiment un menteur pleinement engagé, comme le reconnaissent honnêtement ses plus fidèles partisans. Le chroniqueur du Washington Post et ancien rédacteur de discours de George W. Bush, Marc Thiessen, a récemment écrit que «le leader est situé en permanence» et l’homme a fourni cette affirmation honnête dans la partie bénéfique pour le réalisateur. Une question cruciale pour vous est de savoir si les mensonges de Trump l’ont mis en danger de destitution. Il va sans dire que les politiciens ne sont généralement pas reconnus pour leur adhésion scrupuleuse à la réalité ou pour éviter les hyperboles. Les présidents bien avant que Trump ait obtenu des disques stressés avec toute la réalité. Bien que la taille du mensonge de Trump – son recours au laïc en tant que fonction essentielle de la conception du contrôle – l’empêche de partir en avant de ses prédécesseurs. Un tel président est placé sur pour faire une grande différence pour juger si ses mensonges atteignent ou non le montant d’une faute impénétrable. Certaines fausses déclarations flagrantes, bien que répréhensibles, ne sont soumises que dans la salle d’audience des jugements rendus par le grand public. La liste de Trump sur le contenu répréhensible, mais non impénétrable, est longue. Trump a menti sur la manière exacte avec laquelle il a gagné son argent et construit son organisation. Il est faux de déclarer que son père l’a lancé dans la vie avec un prêt de 1 million de dollars sans plus. En outre, il a menti en niant qu’il se soit arrangé pour acheter le silence de femmes avec qui il avait des relations extraconjugales. Ils ont fabriqué des affirmations entières au sujet de la politique publique, car il a réussi récemment à inventer des coûts d’immigration «à frontières ouvertes» soutenus apparemment par «chaque» démocrate du Sénat. À propos des déclarations de ce genre, on pourrait dire «caveat emptor», prévenez l’acheteur. Certains sont placés, cependant, pourraient représenter un manquement aux obligations constitutionnelles, et celles-ci ne devraient pas être laissées au marché politique. Comme Philip Bobbitt l’a montré dans son supplément à l’étude historique de Charles Black sur la destitution, un «complot visant à détourner le sens d’une élection présidentielle» en «agissant en ligue en utilisant une puissance étrangère hostile» constitue clairement un motif d’éradication. Il en va de même pour toute fausse déclaration entravant une recherche sur ce type de complot, y compris des déclarations mensongères sur le public. L’article de mise en accusation pour obstruction transféré par le Comité judiciaire de la Chambre dans le procès contre Richard Nixon peut constituer un précédent précis. Il incluait une accusation que Nixon a faite avait fait «des déclarations publiques fausses et trompeuses», qui étaient «contraires à sa confiance en tant que dirigeant et subversif du gouvernement constitutionnel». Il est tout à fait possible que Trump ait fait «des déclarations publiques fausses et trompeuses» Trier.
Uncategorized @ 24 octobre 2018, Commentaires fermés sur Trump et ses petits mensonges