# Catalogne: cellule pour les indépendantistes qui demandent la rébellion

Uncategorized @ 14 octobre 2019

Le juge suprême espagnol a condamné neuf dirigeants séparatistes catalans à des peines de sédition plus lourdes que neuf et treize ans d’emprisonnement. Ils ont été condamnés pour désobéissance et condamnés à une amende sans pouvoir être condamnés à une peine de prison. Les 12 politiciens et militants expérimentés ont tous rejeté les accusations. Les séparatistes de Catalogne ont fini par préparer une grande désobéissance civile devant le verdict. Carles Puigdemont, l’ancien chef de la direction catalane qui avait échappé à un procès après avoir fui l’Espagne avant de pouvoir être arrêté en 2017, a affirmé que les condamnations prononcées contre des dirigeants séparatistes « d’un siècle dans son ensemble » ont été « une atrocité ». « Maintenant plus que jamais auparavant … il peut être temps de réagir comme jamais auparavant », a-t-il publié sur Tweets, intégrant: « Dans l’avenir des fils et des filles. Pour la démocratie. Pour l’ue. Pour la Catalogne. » L’accusation voulait près de vingt-cinq ans d’emprisonnement pour Oriol Junqueras, le premier gentil directeur adjoint de Catalogne, ainsi que le plus grand des innovateurs en matière d’indépendance suprême. Junqueras a été condamnée à la plus longue condamnation de 13 ans imposée pour sédition et utilisation abusive des finances publiques. Les autres peines ont varié de 9 ans et plus. Les neuf leaders ont été acquittés d’un contrôle de la rébellion un peu plus sérieux. À la suite du verdict du tribunal, des partisans de l’autosuffisance catalane ont défilé à Barcelone, arborant des banderoles et des publicités indiquant «prisonniers politiques sans frais», tout en exhortant les autres à «emprunter les allées». Durant le week-end, d’innombrables manifestants se sont rassemblés depuis la métropole. En 2017, les forces de l’ordre et les manifestants se sont affrontés à l’intérieur des routes lorsque les responsables de la liberté professionnelle de Catalogne ont décidé d’organiser un référendum interdit par la salle d’audience constitutionnelle constitutionnelle espagnole. La décision de lundi intervient peu après plusieurs semaines de procédure. Tout au long de leurs désaccords arrêtés en juin, les cabinets d’avocats de la défense ont informé le tribunal que leurs clients avaient rejeté les coûts de la rébellion et de la sédition, mais avaient été placés sous le contrôle plus restreint de la désobéissance, ce qui les aurait peut-être observés suspendus de leurs fonctions, mais pas détenus des stages bien connus au sein du gouvernement fédéral et du parlement de Catalogne, bien que certains aient été de puissants activistes et défenseurs de la culture. Jusqu’à la fin de l’offre de procès, les 12 accusés se voyaient offrir tous les quarts d’heure pour montrer leurs différends aux procureurs pour la journée de travail clôturée du 12 juin.

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